Conseils pour réussir une épreuve de cas pratique aux concours de la fonction publique

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Introduction

Passer un concours de la fonction publique

Passer un concours de la fonction publique est souvent une étape cruciale dans la poursuite d’une carrière au service de la collectivité. Ces concours sont réputés pour leur sélectivité et leur exigence, notamment en ce qui concerne les épreuves de cas pratiques. Ayant moi-même traversé ce processus, je comprends à quel point la préparation à ces épreuves peut être intense et stressante.

Cependant, je suis convaincue qu’avec la bonne approche, les compétences adéquates et une préparation adéquate, il est possible de réussir ces cas pratiques haut la main. Dans cet article, nous explorerons en détail les stratégies et les compétences nécessaires pour briller dans les épreuves de cas pratiques des concours de la fonction publique. Nous plongerons dans des conseils pratiques, des exemples concrets et des recommandations basées sur mon expérience personnelle et ma compréhension du processus de sélection.

La préparation aux cas pratiques n’est pas seulement une étape vers la réussite du concours, mais aussi une occasion d’acquérir des compétences précieuses pour une future carrière au sein de l’administration publique. Alors, que vous soyez un candidat débutant ou expérimenté, rejoignez-moi dans cette exploration des stratégies gagnantes pour exceller dans ces épreuves exigeantes et faire un pas de plus vers la réalisation de votre vocation au service de la collectivité.

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5 idées d’utilisation de l’IA pour créer vos cours

5 idées d’utilisation de l’IA pour créer vos cours

Cela fait quelques mois que je me suis mise à me former aux nouveaux outils numériques de l’intelligence artificielle générative. J’y ai vu un potentiel incroyable pour la génération de contenus liés à la pédagogie. Comme beaucoup de professeurs et de formateurs autour de moi, je vous livre ici quelques clés et autres expérimentations.

Cet article est la reprise d’un fil / thread Twitter que j’ai écrit aujourd’hui le 1er septembre 2023. Il se peut que les moteurs d’IA dont je parle deviennent rapidement obsolètes ou soient mis à jour, avec des fonctionnalités plus pertinentes.

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Voici 5 idées d’utilisation de l’ Intelligence Artificielle pour créer vos cours et formations avec chatGPT et consorts :

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Les technologies innovantes au service de l’apprentissage

Comment les nouvelles technologies peuvent façonner nos manières d’apprendre ou de former

Rien ne se perd, tout se transforme. L’éducation, tel le Phénix, renaît de ses cendres, enrichie par la technologie. Cette dernière ne se contente pas simplement de modeler nos façons d’interagir ou de communiquer, mais elle façonne la matrice même de notre compréhension.

Les ressources éducatives en ligne offrent une variété de formats d’apprentissage, des vidéos interactives aux quiz en ligne, en passant par les forums de discussion où les apprenants peuvent échanger des idées et des connaissances. Les salles de classe virtuelles permettent aux enseignants de dispenser des cours en direct, de partager des présentations et des documents, et de faciliter la participation des étudiants grâce à des outils de discussion en ligne. Les cours en ligne autonomes et auto-administrés permettent aux apprenants de progresser à leur propre rythme, qu’ils soient étudiants à plein temps ou professionnels en reconversion.

Et puis… la technologie a permis le développement de nouvelles approches pédagogiques, telles que l’apprentissage par la réalité virtuelle et augmentée. Ces technologies immersives offrent des expériences d’apprentissage uniques, permettant aux étudiants de se plonger dans des environnements virtuels interactifs et de manipuler des objets en 3D pour mieux comprendre certains concepts complexes.

Comment trouver de nouveaux moyens de vulgariser et sensibiliser ?

4 techniques pédagogiques innovantes pour captiver l’attention de vos apprenants ou publics à sensibiliser

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Introduction :

Transmettre des connaissances, qu’il s’agisse de science, d’art ou de culture, est un défi que chaque enseignant, chercheur et médiateur relève quotidiennement. Mon expérience en tant que chercheuse et professeure m’a amenée à repenser constamment la manière dont j’aborde la pédagogie.

Souvent, je voyais la tête dépitée de certains élèves, et je me demandais si ma manière d’enseigner était la bonne. En général, la « bonne méthode » n’existe pas. Car il y aura toujours des réfractaires ou bien des personnes pour qui l’apprentissage devra prendre une autre forme. C’est d’ailleurs pour cela qu’il est intéressant de varier les supports, les médias, ou les sources dans les classes.

L’apprentissage ne se limite pas seulement aux manuels scolaires et aux leçons traditionnelles. Les élèves sont plus réceptifs lorsque l’enseignement prend une forme interactive et stimulante. Les technologies telles que les tablettes, les ordinateurs ou les applications éducatives peuvent être des outils précieux pour rendre l’apprentissage plus attrayant et captivant.

On peut également encourager les discussions en classe, les débats, les projets de groupe et les sorties sur le terrain. Ces activités permettent aux apprenants de développer leur esprit critique, de travailler en équipe et d’appliquer les connaissances théoriques à des situations réelles. L’apprentissage devient alors plus concret et les élèves sont plus engagés dans leur propre processus d’acquisition de connaissances.

En outre, il est important de prendre en compte les différentes intelligences des élèves. Certains sont plus visuels, d’autres plus auditifs, tandis que certains apprennent mieux par le mouvement. En adaptant les méthodes d’enseignement en fonction de ces différentes intelligences, on peut offrir à chaque élève la possibilité de s’épanouir et de réussir. La diversification des méthodes d’enseignement est indispensable pour répondre aux besoins et aux préférences des différents apprenants.

Au cœur de cette quête purement pédagogique, j’ai eu la volonté de rendre chaque information non seulement accessible, mais aussi vivante et mémorable. Je vous invite à explorer avec moi quatre techniques novatrices, enrichies par mes propres tentatives, réussites et échecs.

À quoi servent les logarithmes ?

Retour sur une opération mathématique : le logarithme

Vous avez pu vous demander un jour, en classe, comment les logarithmes pourront-ils m’être utiles plus tard, dans la vie quotidienne ? Nous nous posons tous et toutes cette question à un moment ou à un autre…

Quelle est la définition du logarithme ? Un logarithme est un outil mathématique qui nous aide à résoudre des problèmes liés à la croissance exponentielle ou à la réduction d’échelle. Plus simplement, il nous indique combien de fois il faut multiplier un certain nombre (qu’on appelle « base« ) par lui-même pour obtenir un autre nombre donné. Les logarithmes sont utiles pour simplifier des calculs complexes et pour évaluer des phénomènes qui varient sur de grandes échelles.

Bon, je sais, les maths 🧮, c’est un peu énervant. Et probablement, vous n’étiez pas super bons à l’école. Enfin, c’est ce qu’en disent la majorité de gens que j’ai interrogés en sondage. En fait, c’est un biais, selon ce que j’ai recueilli : vous êtes 50% à avoir aimé les maths, et donc 50% à avoir détesté. Toutefois, même si vous aviez détesté, certains et certaines d’entre vous avaient tout de même du talent en mathématiques !

Alors, j’ai décidé de parler un peu maths sur le blog. Car je trouve que c’est ce qui m’a manqué le plus pendant mon adolescence : une façon ludique de parler des mathématiques.

Voici de logarithmes sous une forme graphique, avec trois courbes simples pour les logarithmes en base 2, ceux en base 10 et les exponentielles e :

Logarithme : « Tracés des fonctions logarithmes en base 2, e et 10 » source Wikipedia

Voici un site web pour comprendre les logarithmes de façon dynamique [lien ici 👈 ]

Les logiciels libres et open source : une alternative gratuite et puissante aux logiciels propriétaires

Définition des logiciels libres :

J’ai toujours été fascinée par la communauté autour du logiciel libre. C’est en effet une très grande communauté, de personnes très diverses, développeurs front-end, développeuses back-end, ou bien architectes de logiciels, hackers éthiques, et autres spécialistes dans des domaines variés.

En fait, on ne s’en doute pas trop, mais le logiciel libre est partout. Et s’il est open source, c’est qu’il est ouvert aux améliorations et aux réparations par cette fameuse communauté. Cependant, je vois bien que peu de personnes sont sensibilisées aux logiciels libres et ouverts. Alors, voici un petit article pour ces personnes :

Les logiciels libres et open source (FOSS) offrent une alternative prometteuse aux solutions commerciales, permettant aux utilisateurs de bénéficier de puissantes fonctionnalités sans les contraintes financières ni les verrouillages propriétaires. Un logiciel libre et Open Source (FOSS) est normalement gratuit ou à prix modique, et il est souvent plus flexible et personnalisable que les logiciels commerciaux. De plus, FOSS est généralement plus sûr et plus fiable que les logiciels commerciaux, car il est régulièrement mis à jour et audité par une communauté mondiale d’utilisateurs et de développeurs.

Logo Open Source

Quelle est la signification de « Logiciel Open Source » ?

L’appellation open source, également connue sous le nom de code source ouvert, est attribuée aux logiciels (et désormais aux créations intellectuelles) dont la licence adhère à des normes rigoureusement définies par l’Open Source Initiative (lire ici). Ces normes incluent la capacité de redistribuer librement, d’accéder au code source et de développer des versions dérivées. Ce code source, rendu accessible au grand public, résulte majoritairement d’une collaboration entre des développeurs.

Infos : Les logiciels libres sont-ils libres de droit ? Un logiciel libre est un logiciel dont l’auteur ou les auteurs renoncent à leurs droits de propriétés intellectuelles. Le logiciel libre n’a donc pas de propriétaire. Son code étant accessible à tous, il est permis de le réutiliser, même à des fins commerciales. Il faut tout de même bien regarder le type de licence qui concerne le logiciel qui vous intéresse. Plus d’informations ici.

Ces articles pourraient vous intéresser :

Récemment, j’ai écrit plusieurs articles au sujet du besoin artificiel que créent certains développeurs d’applications, et des problèmes que cela peut poser. Cela fait naître des pratiques troublantes et inquiétantes, comme sur Linkedin, que j’évoque dans ce billet de blog. J’ai aussi parlé des problématiques de confidentialité, notamment lorsqu’il s’agit des intelligences artificielles et des IA génératives.

Dans cet article, je vous présente une liste d’exemples de logiciels libres et open source.

7 modèles Excel pour votre gestion de projet

Pendant mon Master, ma bête noire, c’était EXCEL de Microsoft. Je ne savais pas utiliser 90% des fonctionnalités, malgré des heures de cours TD passées sur ce logiciel au lycée (en initiation à la spécialité science de l’ingénieur)…

Pourtant, Excel est un formidable outil de développement, de suivi et de gestion de projet. Il permet aussi d’analyser un grand nombre de données en local. L’avantage, contrairement à des applications comme Notion, c’est que votre data reste précieusement sur votre disque dur (à moins que vous ne choisissiez de le porter sur le cloud).

Depuis quelques années, Excel de Microsoft évolue dans le bon sens et ne cesse de s’améliorer. On oublie bien souvent qu’il s’agit de l’outil de prédilection de presque la totalité des entreprises, pour sa simplicité apparente et sa complexité cachée.

On oublie aussi qu’Excel possède une base de données de modèles de vues graphiques, de formules et de tableaux disponibles rapidement pour que vous les agenciez simplement avec vos propres données. Voici 7 modèles Excel + 1 modèle bonus que vous ne connaissiez peut-être pas, et qui vous permettront d’optimiser votre gestion de projet.

La résilience des plantes : une leçon pour l’humanité ?

L’univers végétal regorge de leçons sur la résilience et l’adaptation qui peuvent être appliquées à notre propre existence. Les plantes, confrontées à des conditions difficiles et des ressources limitées, ont développé des stratégies ingénieuses pour survivre et prospérer. En observant leur comportement, nous pouvons trouver des inspirations pour relever les défis de notre propre monde en constante évolution.

La résilience se réfère à la capacité d’un individu, d’une communauté ou d’un système à faire face aux perturbations, aux changements et aux stress, et à s’adapter pour maintenir son fonctionnement, sa structure et son intégrité. Cela implique la capacité de rebondir après des situations difficiles et de se rétablir tout en tirant des enseignements de l’expérience pour devenir plus fort et plus adapté aux défis futurs.

Les biotechnologies sont un domaine de la science et de la technologie qui utilise des processus biologiques, des organismes vivants ou leurs composants pour développer des produits et des applications bénéfiques pour l’industrie, la médecine, l’agriculture et d’autres domaines. Les biotechnologies englobent un large éventail de techniques et d’approches, allant de la manipulation génétique à la culture cellulaire en passant par la bioinformatique, dans le but de créer de nouveaux produits, d’améliorer les processus existants et de résoudre des problèmes complexes en exploitant les ressources biologiques.

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Le coût énergétique des IA

Le monde caché des serveurs et des datacenters : la colonne vertébrale nvisible des Intelligences Artificielles

Promenons-nous dans les IA…

Cet article explore le coût énergétique des datacenters ou centres de données qui alimentent l’intelligence artificielle.

L’univers en constante expansion de l’intelligence artificielle (IA) (notamment les IA génératives telles que MidJourney, OpenAI ou Google) repose sur une infrastructure souvent méconnue du grand public : les champs de serveurs. Ces vastes complexes abritent d’immenses quantités de données et de calculs, permettant aux IA de fonctionner avec une efficacité et une puissance sans précédent. Il ne s’agit donc pas d’une machine au fonctionnement magique, mais de véritables mastodontes mécaniques et numériques, reliés entre eux par des câbles, sous terre, sur la terre et sous la mer.

Dans cet article, nous nous immergeons totalement dans l’ombre de ces champs de serveurs, et entamons notre enquête sur leur impact environnemental. J’essaye tant bien que mal, n’étant pas journaliste ni véritable spécialiste du domaine, d’expliquer les liens complexes entre technologie, énergie et durabilité.

L’avenir de l’IA générative

Le futur de l’IA générative : une arme ou un outil ?

Après avoir discuté des problèmes de confidentialité de l’Intelligence Artificielle, nous allons maintenant aborder l’Intelligence Artificielle Générative. L’intelligence artificielle générative (IA générative) est une branche de l’IA qui utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour créer du contenu à partir de données. Par exemple, l’IA générative peut produire des textes, des images, des vidéos, des sons ou des codes informatiques.

« En particulier, les intelligences artificielles génératives (voir encadré ci-dessous) se développent rapidement depuis plusieurs mois, que ce soit dans le domaine du texte et de la conversation, via les grands modèles de langage (Large Language Models ou LLMs en anglais), tels que GPT-3, BLOOM ou Megatron NLG et les agents conversationnels (« chatbots ») dérivés (ChatGPT ou Bard), mais également dans ceux de l’imagerie (Dall-E, Midjourney, Stable Diffusion, etc.) ou encore de la parole (Vall-E). »

Intelligence artificielle : le plan d’action de la CNIL | CNIL

Des centaines de millions d’usagers utilisent des services tels que Chat GPT, Bing Ai ou Bard de Google pour exécuter bien plus de requêtes que dans un simple moteur de recherche basique. Les réponses produites par l’IA sont aussi beaucoup plus longues et nécessitent une quantité d’énergie pour être générée, car rien ne sort du « vide ».